Un Serbe pourrait bien décrocher le téléphone la prochaine fois que vous appelez le service à la clientèle d’une entreprise canadienne. Belgrade compte de nombreux centres d’appels où les employés parlent le français. Cet avantage compétitif cache cependant une autre réalité plus sombre : un manque d’emploi pour les finissants en enseignement rêvant de devenir professeurs de français. Avant la pandémie, Étienne Fortin-Gauthier a visité la Serbie pour comprendre le phénomène.
NOMADE – Des centres d’appels francophones en Serbie
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