OTTAWA – Le marché mondial du jeu vidéo pèse aujourd’hui plus de 300 milliards de dollars avec plus de 2,7 milliards d’adeptes aux quatre coins du globe. Et toute industrie d’envergure internationale cherche généralement à se conformer aux multiples langues régionales. Mais quand on sait que certains jeux contiennent plus d’un million de mots, comment fait-on pour tout traduire de façon efficace? Y a-t-il des lignes directrices à respecter? Des langues à privilégier? Jean-Sylvain Sormany, chef de bureau chez Snowed In Studios à Ottawa, nous guide à travers le processus de traduction des jeux vidéo.