Pour clore le Mois de la Francophonie, nous avons demandé à des citoyens dont la langue maternelle n’est pas le français, ce que représente pour eux cette célébration culturelle ?
Ils sont Autochtones, Néo-Canadiens ou Franco-Américains, ils sont du Cameroun et de l’Inde, ou sont Oji-Cris ou Anishinaabe…
Ils nous répondent avec franchise, depuis la Louisiane, le New Jersey, Hearst, Ottawa, Sudbury et Nipissing Ouest.