Le 11 février est la Journée internationale des femmes et des filles de science, une initiative mise en œuvre par l’UNESCO et ONU-Femmes afin de promouvoir la diversité dans la communauté scientifique. Selon leurs données, les femmes ne représentent en moyenne que 33 % des chercheurs à l’échelle mondiale, une statistique encore plus effarante lorsqu’on analyse la proportion de femmes dans les postes scientifiques de haut niveau. Qu’en est-il de la situation en Ontario ?
Nous avons rencontré trois scientifiques chevronnées pour faire un constat actuel :
- Dr Ève Gilroy, chercheuse scientifique dans la division de la recherche sur les contaminants aquatiques chez Environnement et Changement climatique Canada, à Burlington.
- Dr Marie-Josée Fortin, professeure au département d’écologie et de biologie évolutionnaire à l’Université de Toronto, détentrice de la Chaire de recherche du Canada en écologie spatiale.
- Dr Julie Messier, professeure adjointe et directrice de laboratoire au département de biologie de l’Université de Waterloo.