Les gouvernements ont pensé trop tard à protéger les aînés, même s’ils étaient les plus à risque, dénonce Martine Lagacé. La professeure, chercheure et experte en gérontologie sociale de l’Université d’Ottawa affirme que des gestes auraient dû être posés bien avant pour protéger cette clientèle. Au terme de la pandémie, il faudra revoir complètement nos manières de faire et offrir aux aînés la qualité de vie qu’ils méritent, croit-elle.
Résidences pour aînés : « Une crise annoncée »
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