Les jeunes Franco-Ontariens sont-ils suffisamment préparés à la possibilité de ne pas être reconnus comme francophones légitimes une fois sortis de l’école? Mélanie Moir, originaire de Windsor, n’aurait jamais pensé que son accent serait rejeté par ses pairs lors de ses études postsecondaires à Ottawa. Après tout, le français est bien sa langue maternelle.