On a pensé qu’il était grand temps d’apprendre à mieux connaître Serge Miville, le recteur à l’avant-plan du combat pour l’autonomie de l’Université de Sudbury. Deux ans après les coupes dans les programmes en français de l’Université Laurentienne, où il détenait la Chaire de recherche en histoire de l’Ontario français, Serge Miville revient sur cette période sombre, mais nous dévoile aussi ce qui le fait rêver dans le Nord ontarien et ce qui le passionne dans ses nouvelles fonctions.