Après avoir vécu un véritable deuil en apprenant la condition particulière de leur futur enfant, deux mères de deux familles franco-ontariennes – Josée Savage-Levac et Nathalie Labonté – ont découvert, par la suite, toutes les richesses cachées dont recelait leur progéniture frappée d’achondroplasie, une forme de nanisme génétique.